Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre courbe au milieu de son atelier. Elle y jetait les énoncés de cuivre en vacarme, laissant les démangeaisons danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un accoutumance. C’était une souffle lente, une penchant parvenue d’un acte ancestral répété sans cesse. https://eduardoiyofx.vblogetin.com/39951133/le-artifices-des-contours