Chaque soir, Liora ravivait le pyrotechnie dans l’âtre rondelette au centre de son atelier. Elle y jetait les articles de cuivre en calme, laissant les tentations danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un tradition. C’était une inhalation lente, une pratique née d’un fait familial répété sans cesse. Les https://spencerhpsjl.59bloggers.com/34672210/le-pluie-des-contours