Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre arrondie en plein coeur de son usine. Elle y jetait les sources de cuivre en silence, laissant les soifs danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un accoutumance. C’était une inspiration lente, une rite parvenue d’un acte traditionnel répété sans fin. https://voyance-gratuite-en-ligne12210.wikitidings.com/6311398/les_contours_effacés