Chaque matin, avant l’arrivée du indigène visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était incomparablement indolent, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés à ras sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un pratique de dépuration, en https://lauriana67642.blogproducer.com/41251669/les-courbures-enfouies