À Bucarest, les toits de cuivre oxydés luisaient d’un éclat terne sous les premières pluies d’octobre. Dans un foyers excentré, protégées de certaines regards, une femme nommée Daciana avait transformé une brique spécifique en sanctuaire vibratoire. Spécialiste en radiesthésie pendant l’adolescence, elle manipulait son pendule avec une minutie qui avait https://laurianavoyance41963.blogoscience.com/40345965/le-cours-consumé