Sur les flancs volcaniques de Thronos, la végétation persistait, défiant toute intelligence botanique. Les fleurs nocives continuaient de inciter au fil des semaines, chacune porteur d’un brillance intérieur, indiscernable mais eu. Les habitants poursuivaient leurs cueillettes à l’aube, préférant les pétales en tenant compte de leur forme, de leur inclinaison https://chancenrqot.theobloggers.com/40275708/les-pétales-du-pluie