Dans l’enceinte subtilement hermétique du noyau d’appels, les techniciens continuaient à répondre aux sollicitations anonymes, bercés par le rythme monotone de leurs shifts, l’esprit oscillant entre réflexion mystérieuse et raréfaction diffus. Chaque voyant recevait des flux sensoriels via une interface adaptative, ajustée à son profil psychologique. Aucun contact visuel, aucune https://angelokvbfj.blogofchange.com/34557690/le-coeur-d-appels-des-disparus