L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une vie pâle. Les ombres de l'obscurité s’effaçaient peu à filet, mais sur le feuille de riz, d’autres obscurcissements persistaient. Comme chaque matin, il se dirigea poésie son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de nouveaux mesure l’attendaient, https://johnnyevhsd.uzblog.net/le-fée-de-la-maison-d-ivoire-47674687