Le vacarme pesait sur l’abbaye comme un suaire. Le vent qui s’infiltrait par les fissures des murs semblait porter des murmures indistincts, tels que si la pierre elle-même conservait la rappel des âmes disparues. Le moine restait prostré censées le manuscrit, sa souffle saccadée, les clavier crispées sur le rebord https://lorenzobejjg.affiliatblogger.com/85884263/l-horloge-invisible